557
Des experts, dont Peter DeCarlo de l’Université Johns Hopkins, notent que le facteur thermique contribue à l’intensification des réactions chimiques, entraînant une augmentation de la pollution de l’air. Cette composante est la principale cause de la mauvaise qualité de l’atmosphère, ce qui devient pertinent dans le contexte du réchauffement climatique. La hausse des températures entraîne une augmentation des émissions nocives, incitant les villes de la côte est des États-Unis à émettre des avertissements en matière de pollution atmosphérique. Des messages sur les dangers de l’ozone ont déjà été diffusés à New York, Détroit, Chicago et dans d’autres villes, appelant les habitants à prendre des précautions.
Publicité