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Les bilans de santé, loin d’être une perte de temps, permettent de préserver son capital santé et d’agir rapidement en cas de problème. Zoom sur ceux qu’il ne faut pas rater après 60 ans !

Un bilan cardiaque

A 60 ans, le cœur peut montrer quelques signaux de fatigue. Même sans symptôme, mieux vaut prendre rendez-vous chez le cardiologue pour prévenir tout accident cardio-vasculaire, d’autant plus si on décide de reprendre une activité physique.

3 gestes simples pour prendre soin de son cœur (que nous oublions tous) !

Le cardiologue évaluera les facteurs de risque (hypertension, sédentarité, tabagisme, surpoids, stress…). Un suivi est indispensable en cas d’accident cardiaque ou d’accident vasculaire cérébral.

Un bilan de la vue

Avec l’âge, la vue a tendance à baisser. Il est donc important de se rendre chez l’ophtalmologiste au moins une fois par an pour adapter au besoin une correction visuelle.

C’est également l’occasion de repérer certaines pathologies oculaires : dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), glaucome ou cataracte.

Un examen de la prostate (pour les hommes)

Les pathologies liées à la prostate sont souvent silencieuses, c’est pourquoi il est indispensable de faire un examen des fonctions sexuelles et urinaires à partir d’un certain âge. Le vieillissement occasionne une diminution lente mais irréversible de la production des hormones mâles.

Un dépistage du cancer de la prostate sera proposé au moyen d’un dosage du PSA (antigène prostatique spécifique) et par le biais d’un toucher rectal. 

Un examen gynécologique (pour les femmes)

Le suivi gynécologique est important, même et surtout en cas de ménopause.

Une consultation permet de réaliser un frottis pour s’assurer qu’il n’y ait pas de lésions précancéreuses. Des problématiques éventuelles d’incontinence urinaire, de problèmes sexuels ou de troubles de l’humeur liés aux variations hormonales pourront également être abordées.

Aussi, pour les femmes, il est crucial également de réaliser un examen des seins et une mammographie. En effet, le risque de cancer du sein augmente avec l’âge. Ainsi, une mammographie est recommandée tous les 1 à 2 ans.

Un dépistage du cancer colorectal

Détecté à un stade précoce, le cancer colorectal guérit dans 90 % des cas.

Le dépistage consiste en une recherche de sang dans les selles tous les deux ans chez les personnes qui n’ont pas de facteurs de risque connus.

Il est simple à réaliser et se fait à domicile par le biais d’un prélèvement de selle sur un coton-tige, que l’on met directement dans un petit tube envoyé au laboratoire grâce à une enveloppe pré-remplie et préaffranchie.

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Rester jeune et en bonne santé le plus longtemps possible, voilà un souhait grandement partagé.

S’il n’est pas toujours possible de prévenir les maladies et autres accidents de la vie, il est tout à fait envisageable de prendre quelques bonnes habitudes de vie.

L’idée : rester en forme et plein de vitalité. Voici comment faire !

Sommaire

  • Stopper définitivement le tabac
  • Faire attention à sa consommation d’alcool
  • Pratiquer une activité physique régulière
  • Choisir une alimentation saine et équilibrée
  • Se relaxer et voir ses proches

Stopper définitivement le tabac

Le saviez-vous, la cigarette contient plus de 4 000 produits chimiques, dont 60 cancérogènes. Chaque année, elle est responsable de plus de 75 000 décès prématurés en France.

Combien d’œufs manger par jour sans risque pour la santé ?

De plus, un fumeur régulier sur deux risque de mourir du tabac. Les spécialistes s’accordent à dire que le tabagisme passif tue autant que la route, le tabagisme actif, 20 fois plus.

Si vous êtes fumeur, rien de perdu : le sevrage a des effets immédiats sur la santé. Il est ainsi possible de regagner plusieurs années d’espérance de vie grâce à l’arrêt de la cigarette.

En stoppant aujourd’hui, vous diminuez le risque d’infarctus, d’AVC, de cancer bronchique ou de cancer de la prostate.

Faire attention à sa consommation d’alcool

La toxicité de l’alcool est liée à la dose consommée : plus elle est importante, plus les risques pour la santé sont grands.

Directement, une trop grande consommation d’alcool risque d’entraîner des cancers du foie, de la bouche, du sein, des maladies cardio-vasculaires, des cirrhoses, des maladies neurologiques, etc.

Il existe également des risques indirects comme les accidents routiers, la dépression, les agressions, l’obésité, etc.

Pratiquer une activité physique régulière

Les études le prouvent : pratique une activité physique régulière est synonyme d’une bonne santé, durable.

En effet, elle permet de réduire le stress, l’appétit, le poids, d’augmenter la masse musculaire, d’améliorer la fonction respiratoire, cardiaque. Les personnes qui pratiquent un sport dorment également mieux.

De plus, cela permet d’éloigner les risques de cancers, d’AVC, d’obésité, d’ostéoporose. L’espérance de vie est également plus élevée.

Choisir une alimentation saine et équilibrée

L’alimentation joue un rôle essentiel sur la qualité et l’espérance de vie de chacun. Il est alors conseillé de manger des aliments suffisamment riches en lipides, en protéines, en calcium et en glucides.

Cela permet à votre corps d’avoir tout ce dont il a besoin pour fonctionner correctement. Les professionnels recommandent d’éloigner les produits trop sucrés, trop salés ou trop gras.

Se relaxer et voir ses proches

L’être humain est un animal social. Voir ses proches, rire, sortir, partager des activités est le meilleur moyen d’entretenir une bonne santé mentale.

Il est également important de prendre le temps de se relaxer.

Pleine conscience, respiration, yoga…

Ces activités permettent de profiter de chaque instant tout en s’éloignant du stress et de l’anxiété.

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Le soleil revient et, avec lui, son cortège de petits inconvénients cutanés. Sans aller jusqu’au coup de soleil, la rencontre de notre peau tout juste sortie de l’hiver avec les rayons ultraviolets (UV) du spectre solaire (UVA, UVB et UVC) peut se traduire par diverses réactions inesthétiques, le plus souvent bénignes mais parfois invalidantes.

On parle des « allergies au soleil » au sens large, ou photodermatoses, qui regroupent notamment la lucite, qu’elle soit estivale bénigne (fréquente) ou polymorphe (plus rare), l’urticaire solaire ou des réactions de photosensibilisation. Elles se produisent le plus souvent sur des zones de la peau habituellement peu exposées – ou qui n’ont pas été exposées depuis un certain temps (au sortir de l’hiver, par exemple) : le décolleté, le dos, les épaules, mais pas le visage.

Toutes les peaux peuvent être touchées

Cette photosensibilité peut se manifester de diverses façons : par des boutons, de petites vésicules ou des plaques rouges, une irritation et/ou une sensation de démangeaisons plus ou moins virulente (prurit).

Son apparition, son intensité et sa persistance varient en fonction des individus et du type d’allergie : les lucites estivales prennent la forme de petits boutons, sa « version » polymorphe provoque des lésions rouges plus importantes (avec papules…) ; l’urticaire entraîne une sensation de brûlure au niveau des lésions œdémateuses, mais il s’estompe en une journée.

Dans la plupart des cas, toutefois, les symptômes disparaissent spontanément, notamment avec le bronzage. Pour la lucite polymorphe, cela peut prendre plusieurs semaines.

Toutes les peaux peuvent être touchées. On considère ainsi que 10 à 20 % de la population française serait concernée par les lucites estivales. Ces dernières se manifestent plus volontiers chez les femmes jeunes de 20 à 30 ans (90 % des cas)… ce qui ne veut pas dire que les hommes sont épargnés. Enfin, avoir la peau claire augmente les risques d’être affecté. De multiples origines possibles

La cause exacte de ces allergies n’est pas toujours connue, mais les photodermatoses sont une réaction inflammatoire anormale de la peau à la lumière. Certaines, notamment l’urticaire, résulteraient d’une réaction des cellules immunitaires présentes dans la peau. En réponse à l’exposition aux rayons UV, les cellules immunitaires, en particulier les mastocytes et les basophiles (tous deux de la famille des globules blancs), peuvent libérer de l’histamine, qui est un médiateur majeur des réponses allergiques.

L’histamine est une molécule de signalisation du système immunitaire avec des propriétés inflammatoires. Elle conduit à une dilatation des petits vaisseaux sanguins responsables de la rougeur cutanée qui apparaît. L’histamine peut aussi entraîner une augmentation de la libération d’eau par les vaisseaux, débouchant sur un œdème local. De plus, elle agit sur les terminaisons nerveuses et provoque les démangeaisons associées aux allergies. Pour d’autres, comme les réactions de photosensibilisation, l’allergie serait provoquée par une réaction chimique entre une exposition solaire et un produit appliqué sur la peau (parfum, cosmétique…) ou une prise médicamenteuse orale (antibiotique, diurétique, antifongique, etc.) qui rendrait le produit sensibilisant.

Tous les rayons du soleil ne se valent pas

Petit rappel, le soleil émet différents types de rayons UV : les UVA, les UVB et les UVC. Les UVC ne pénètrent pas dans l’atmosphère car ils sont arrêtés par la couche d’ozone. Ne passent que les B et, surtout, les A (95 %). Les UVB sont responsables des coups de soleil et du bronzage. Ils ne pénètrent pas au-delà des couches superficielles de la peau, contrairement aux UVA qui peuvent atteindre ses couches profondes. Les dégâts des premiers sont donc particulièrement prononcés chez les personnes à peau claire, mais les UVA sont nocifs pour tous les types de peau, y compris les plus foncées. Ils peuvent agir sur la perméabilité des vaisseaux sanguins en induisant une vasodilatation locale, en grande partie due à l’action de l’histamine. La plupart des écrans totaux protègent des UVB, mais en partie seulement des UVA – dont l’effet nocif est cumulatif. Il faut donc choisir avec attention sa crème protectrice. Attention, les cabines de bronzage peuvent aussi provoquer des lucites !

S’exposer progressivement

Pour arrêter les symptômes, pas de mystère, il faut interrompre l’exposition au soleil : en se mettant à l’ombre, en protégeant sa peau avec des vêtements, en adoptant une crème solaire adaptée et, dans le cas des photosensibilisations, il faut éviter les allergènes connus.

Les symptômes vont parfois persister ou être plus importants. Dans ce cas, ils peuvent nécessiter une intervention médicamenteuse pour les apaiser. Les traitements proposés sont des applications topiques de crèmes apaisantes pour les cas les plus bénins ou à base de corticoïdes et la prise orale d’antihistaminiques qui bloquent les effets de l’histamine et de l’inflammation.

En amont, une approche préventive peut également être privilégiée. En exposant, par exemple, progressivement sa peau au soleil pour l’habituer au rayonnement UV, en évitant les horaires les plus agressifs (entre 10 heures et 16 heures), en prenant des compléments alimentaires comme des bêta-caroténoïdes (précurseurs de la vitamine A, aux propriétés photoprotectrices) ou en ayant recours à un traitement reposant sur de l’acide para-aminobenzoïque. En cas de lucite polymorphe, des antipaludéens de synthèse peuvent être prescrits en amont.

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On conseille souvent de boire un verre d’eau tiède avec du jus de citron le matin à jeun pour ses vertus stimulantes, digestives ou détox. Mais qu’en est-il vraiment ? Commençons par les bienfaits. Boire un verre d’eau tiède au citron, sans sucre ajouté, tous les matins est une bonne idée pour bien commencer la journée…

Des vitamines à gogo

Au réveil, boire de l’eau, cela participe à l’hydratation… Et pour ceux qui n’ont pas franchement envie de boire, ajouter une saveur citronnée peut aider à mieux s’hydrater. Le citron, quant à lui, a une vertu claire : c’est une bonne source de vitamine C, 45 mg pour 100 g… C’est bien utile pour atteindre les apports recommandés de 110 mg/jour. Mais attention à la température de l’eau : une eau trop chaude détruit les vitamines du citron. Pour préparer son citron chaud, l’idéal est que l’eau soit à la température du corps, c’est-à-dire à 37 °C.

On entend aussi que boire un jus de citron dissout les calculs rénaux… Ce n’est pas faux, mais en réalité cela dépend de la composition chimique du calcul. Il faudra demander à votre médecin… Par ailleurs, le citron contient de l’acide citrique et des molécules diverses antioxydantes qui pourraient, en théorie, protéger notre tube digestif contre les cancers et faciliter la digestion. Honnêtement, tout cela n’est pas prouvé…

Dans certaines situations, attention au citron

Il y a par ailleurs quelques situations où il faut faire attention avec l’eau citronnée. Si vous êtes sujet au reflux gastrique, mieux vaut éviter d’en boire trop souvent, et notamment le soir, au risque d’augmenter les brûlures d’estomac et les reflux…On lit régulièrement que le citron est une boisson magique pour blanchir ses dents, contrairement au thé. Mais ce n’est pas une bonne idée, le citron étant acide, il va abîmer l’émail et faire se rétracter les gencives qui seront plus sensibles au chaud et au froid.

Et il y a la fameuse question de l’intérêt du citron pour contrôler son poids. Soyons clairs : le citron contient de la pectine, une substance fibreuse, qui une fois dans l’intestin augmente de volume. Cela peut, en principe, donner une sensation d’estomac plein… Mais je dois vous dire la vérité au risque de vous décevoir : le citron n’a aucune action sur le tissu adipeux et aucune étude n’a jamais montré que le jus de citron faisait perdre du poids ou avait une action détox.

Quoi qu’il en soit, une fois que vous avez bien compris ce que vaut vraiment un jus de citron tiède… vous pouvez en profiter tous les jours. Au réveil ou plus tard dans la journée, selon vos envies !

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Forte empathie

Cette capacité consiste à sentir l’humeur et l’atmosphère autour d’une personne. Pour ce faire, il n’est même pas nécessaire de dire quelque chose.

« Il arrive que vous sachiez ce qu’une personne s’apprête à dire ! Sa phrase est comme si vous l’aviez en tête une seconde avant de la prononcer », explique la voyante Varvara Mitrofanova.

Rêves prophétiques

Les personnes dotées de super-pouvoirs font souvent des rêves. Et une personne peut toujours distinguer si le rêve se réalisera ou s’il s’agit simplement d’un jeu d’imagination, rapporte Life.ru. Il existe également des capacités à gérer les rêves et à voyager à l’intérieur de ceux-ci.

Déjà vu

Le phénomène du déjà-vu accompagne souvent les clairvoyants. Pour eux, il s’agit d’une vision ou d’un souvenir dans la réalité, qui se réalise ensuite dans la réalité.

Signes du destin

La capacité à discerner les signes du destin est également présente chez les voyants. Ils peuvent décider aujourd’hui de marcher à pied et de ne pas prendre le volant, et après un certain temps apprendre qu’il y aura un terrible embouteillage ou un accident sur la route.

Une énergie forte

A proximité des personnes dont émane une forte énergie, les appareils électriques tombent souvent en panne, les machines fonctionnent mal. Certaines personnes, en particulier les enfants, ainsi que les animaux, peuvent également être attirés par ces personnes. Tous ces signes indiquent qu’une personne possède un don particulier qui doit être développé, conclut la voyante.

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En septembre, des essais cliniques du premier médicament au monde destiné à la régénération dentaire auront lieu à l’hôpital universitaire de Kyoto, au Japon. Le médicament, basé sur un anticorps qui désactive la protéine USAG-1, est initialement destiné aux patients nés avec tout ou partie des dents manquantes (agénésie dentaire congénitale). Au fil du temps, les chercheurs espèrent étendre le traitement aux personnes ayant perdu des dents accidentellement ou à cause d’une infection. Alors que chez les personnes en bonne santé le nombre de dents permanentes est strictement limité à 32, environ 1 % de la population possède plus de dents permanentes (hyperdontie, ou dents surnuméraires) ou moins (agénésie dentaire). L’agénésie dentaire survient à la suite d’un arrêt prématuré du développement dentaire et comprend l’hypodontie (manque de 1 à 5 dents permanentes), l’oligodontie (absence de plus de 6 dents) et l’anodontie (absence de toutes les dents).

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De nouvelles recherches offrent de l’espoir aux personnes souffrant de maladies héréditaires de la rétine. Une thérapie génique expérimentale utilisant des ciseaux moléculaires CRISPR-Cas9 appliquée à 14 patients atteints d’amaurose congénitale de Leber a donné des résultats spectaculaires. Plus de 79 % des participants à l’essai ont constaté une amélioration significative de leur vision après le premier cycle de traitement chez Mass Eye and Ear. De plus, les tests effectués ont confirmé que la thérapie était sûre et ne provoquait pas d’effets toxiques limitant la dose. Actuellement, plus de 43 millions de personnes dans le monde souffrent de problèmes de vision, et la nouvelle technologie CRISPR ouvre de nouvelles possibilités pour traiter les maladies oculaires héréditaires.

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L’histoire de Pancho, un homme victime d’un accident vasculaire cérébral et confronté à la tétraplégie, frappe par son caractère inhabituel. Une rencontre avec le neurochirurgien Edward Chang a conduit à une découverte révolutionnaire : Pancho a pu retrouver la capacité de parler anglais et espagnol grâce à un implant cérébral. Ce succès ouvre la porte à de nombreux patients confrontés à des problèmes similaires pour mieux comprendre comment le cerveau humain traite le langage. L’étude, menée par une équipe de neurochirurgiens et de spécialistes de l’intelligence artificielle de l’Université de Californie, a abouti à des résultats surprenants.

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Selon une étude menée par un groupe de scientifiques, il a été constaté que le fait d’avoir des tatouages ​​peut augmenter de 21 % le risque de développer un lymphome. L’étude a révélé que 21 % des patients atteints d’un lymphome avaient des tatouages, contre 18 % du groupe témoin. Les scientifiques soulignent qu’après avoir pris en compte d’autres facteurs tels que le tabagisme et l’âge, il a été constaté que le fait d’avoir des tatouages ​​est associé à un risque accru de développer ce type de cancer. Fait intéressant, les chercheurs ont initialement émis l’hypothèse que la taille et l’emplacement d’un tatouage pourraient influencer la probabilité de développer un lymphome, mais les résultats de l’étude ont montré que le risque restait élevé quels que soient ces facteurs.

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L’Université Fudan de Shanghai, en Chine, a mené une étonnante expérience de thérapie génique qui a abouti à la restauration de l’audition chez cinq enfants. Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Nature Medicine le 5 juin 2024. L’expérience a porté sur des enfants souffrant de surdité due à une mutation génétique rare du gène DFN89, responsable de la production de la protéine otoferline, importante pour l’audition. Après six mois de traitement, cinq enfants ont montré une récupération auditive de 50 %. à 60% des niveaux normaux . Ce succès a été obtenu en transplantant la version « normale » du gène au lieu de la mutation défectueuse.

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