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C’est un constat depuis plusieurs années : les distributeurs automatiques de billets n’ont plus la cote. Bien que 93% des Français ont toujours besoin de monnaie, ils utilisent de moins en moins les DAB. En réalité, plus de 4 Français sur 10 fait moins d’un retrait par mois en moyenne. 7% de la population n’a même jamais recours aux DAB. En toute logique, le nombre de ces machines dans l’Hexagone diminue. En huit ans, nous sommes passés de 55 000 distributeurs à 47 853. Un chiffre qui est voué à baisser. Encore. Pendant un temps, il était primordial d’avoir toujours de la monnaie sur soi. Mais les choses ont changé. Dorénavant, les commerçants se sont assouplis, acceptant la carte bancaire plus facilement qu’auparavant grâce à l’arrivée d’alternatives solides aux TPE “classiques”. Aujourd’hui, 98% des Français utilisent une carte bancaire pour effectuer leurs achats. On peut également supposer que la pandémie de Covid-19 n’est pas étrangère à cette baisse de l’utilisation des DAB.

Confinés, les Français ont dû adopter de nouvelles habitudes au quotidien. Des habitudes qui restent. De plus, le sans contact a fait son apparition dans le quotidien de nombreux consommateurs. Aujourd’hui, 81% des habitants de l’Hexagone y ont recours régulièrement pour régler leurs achats, bien qu’il y ait un montant limité à 50 euros.

Le paiement mobile, plus populaire que jamais

Mais le moyen de paiement qui est de plus en plus populaire à l’heure actuelle, c’est bien le paiement mobile. On note un nombre croissant d’utilisateurs de ce dernier. 23% des Français utilisent désormais leur smartphone ou leur montre connectée pour payer leurs emplettes en un clin d’œil. Ce qui est extrêmement pratique.

Sans réelle surprise, ce sont les plus jeunes qui ont majoritairement adopté le paiement mobile dans leur vie quotidienne. Selon l’étude de, 41% des personnes âgées de 18 et 34 ans utilisent leur smartphone pour payer. Cependant, les seniors de plus de 66 ans sont quand même 10% à y avoir recours. L’utilisation du paiement mobile devrait aller en grandissant dans les prochaines années.

Avec ces nouveaux moyens de paiement et l’avènement du dématérialisé, les distributeurs automatiques de billets subissent un déclin inexorable. Leur nombre devrait continuer à chuter dans l’Hexagone. L’arrivée imminente de la gratuité des virements instantanés ne devraient rien arranger.

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Trouvez la station-essence la moins chère pour faire le plein de carburant à prix réduit près de chez vous

Le prix de l’essence n’est pas le même à toutes les pompes. Et chaque point de vente le modifie constamment. La station la moins chère le lundi n’est peut-être pas la même le lendemain. Les stations rattachées à des enseignes de la grande distribution sont généralement bien moins chères que celles des pétroliers (Total, Shell, Elf, Esso, BP…). Certains supermarchés promettent même du carburant à prix coûtant (ce qui ne représente en général qu’une économie de 1 à 3 centimes d’euro sur le prix au litre…).

Pour trouver l’essence au meilleur prix près de chez vous, les comparateurs en ligne, mis à jour en temps réel, sont légion. L’un d’entre eux sort du lot : celui du gouvernement. Il est accessible gratuitement et facilement à l’adresse : Prix-carburants.gouv.fr

ASTUCE

9 euros d’économies sur le plein ! Une simulation le 20 janvier sur Prix-carburant.gouv.fr a montré un écart de 18 centimes par litre de gazole à Paris. Soit 9 euros d’économies sur un plein de 50 litres. 

N’attendez pas que le réservoir soit vide

Non, contrairement à une idée reçue très répandue, il n’est pas préférable d’attendre d’être sur la réserve pour faire le plein. Bien au contraire, remettre de l’essence ou du diesel à mi-plein est une excellente habitude.

Certes, cela oblige à faire plus de passages à la pompe, mais vous éviterez ainsi de perdre du carburant, que ce soit en raison de la condensation l’hiver ou de l’évaporation due à la chaleur l’été.

Adoptez une conduite économique en roulant un peu moins vite

Et si vous baissiez votre vitesse de 10km/h ? Non, il ne s’agit pas d’une énième décision gouvernementale mais d’un conseil avisé pour économiser quelques dizaines d’euros de carburant sur l’année.

En réduisant ainsi la vitesse de votre véhicule, vous pourrez économiser jusqu’à 1 litre de carburant aux 100 km. De quoi faire du bien au porte-monnaie, mais aussi à l’environnement puisque vos émanations de CO2 baisseront également en conséquence.

ASTUCE

Economisez 1 litre en 4 minutes Baisser votre vitesse de 10km/h sur l’autoroute ne vous fait perdre que 4 minutes tous les 100 kilomètres !

Pratiquez l’éco-conduite en anticipant vos freinages pour consommer moins de carburant

Autre bonne habitude à adopter au volant : évitez au possible les freinages trop abrupts. Accélérer tout le temps jusqu’au coup de frein au feu rouge ou un passage piéton entraîne une surconsommation inutile du véhicule. Pensez plutôt à lâcher le pied pour utiliser votre frein moteur : votre voiture décélèrera doucement et ne consommera plus rien. Vos plaquettes de frein vous en remercieront aussi !

ASTUCE

-10 % Adopter l’écoconduite permet d’économiser jusqu’à 10 % de votre consommation de carburant, selon l’Ademe. 

Pensez à couper votre moteur dans les embouteillages et au feu rouge

De nombreux véhicules récents disposent de la technologie Start and Stop. Une option qui permet de réaliser une économie de 3 à 8 % de carburant, surtout pour les automobilistes citadins, habitués aux bouchons interminables. 

Mais inutile de posséder une telle option pour l’appliquer. Si vous vous trouvez bloqué sur la route, à l’arrêt pour au moins 1 minute, n’hésitez pas : coupez le moteur ! Contrairement aux idées reçues, les voitures modernes supportent parfaitement les arrêts et redémarrages récurrents du moteur. Alors pourquoi continuer à le faire tourner dans le vide ?

Surveillez l’entretien de vos pneus pour ne pas sur-consommer du carburant

Saviez-vous qu’on estime à environ 20 % la part de consommation de carburant due aux pneus ?

Négliger leur gonflage régulier est donc une grave erreur (en plus de la question de la sécurité). Un pneu sous-gonflé va faire augmenter automatiquement la consommation d’essence ou de diesel de votre voiture. 

Que ce soit dans l’habitacle ou sur le côté de la portière, chaque voiture dispose d’une affichette sur laquelle sont indiquées les valeurs de référence pour chacun de vos pneus, et ce en fonction notamment du poids du véhicule. Soyez attentif et vérifiez la pression tous les mois et avant chaque grand trajet. 

N’allumez pas la climatisation pour les petits trajets

La climatisation est l’ennemi de l’environnement. Et la voiture aussi ! Allier les deux, surtout en été, n’est absolument pas une bonne idée, tant pour la planète que pour votre budget. Sur certains modèles, celle-ci peut consommer jusqu’à 1 litre supplémentaire aux 100 km ! À faible vitesse, on privilégiera donc l’ouverture des fenêtres pour s’aérer.

ASTUCE

Sur une nationale ou une autoroute, c’est l’inverse ! Il vaut mieux privilégier la climatisation pour se rafraîchir. En effet, à vitesse élevée, une fenêtre ouverte peut entraîner une surconsommation de carburant car celle-ci influe sur l’aérodynamisme du véhicule.

Le régulateur de vitesse est votre ami

C’est déjà l’allié de nombreux automobilistes : le régulateur permet de stabiliser automatiquement la vitesse de sa voiture. Une option particulièrement utile pour les longs trajets sur une route nationale ou sur l’autoroute.

D’autant qu’en évitant les coups d’accélération et de freinages par toujours utiles, il aide aussi grandement à réduire sa consommation d’essence ou de diesel sur la route !

Ne chargez pas trop votre automobile

La consommation d’une voiture dépend bien sûr du comportement de son conducteur… mais aussi du poids du véhicule ! Un véhicule lourd et encombré d’accessoires (porte-vélos, coffre de toit, remorque…) va consommer beaucoup plus de carburant.

Il est donc particulièrement économique de limiter au maximum la présence d’objets dans le coffre ou l’habitacle. Inutile de se servir de sa voiture comme d’un lieu de stockage annexe : cela ne fera qu’accélérer la date de votre retour à la pompe à essence.

Des économies à la clé en faisant décalaminer les voitures

Le décalaminage est un procédé d’entretien consistant en une injection d’hydrogène dans le moteur d’une voiture afin d’y éliminer la calamine, ce résidu qui résulte de la combustion du carburant, notamment dans la chambre d’explosion.

Ce nettoyage en profondeur permet à votre véhicule de retrouver ses performances d’origine, ou presque. De quoi polluer moins et, bien sûr, consommer moins de carburant. 

ASTUCE

-15 % Un décalaminage à hydrogène dans un garage est facturé à partir de 70 euros. L’opération ne nécessite pas une longue immobilisation de la voiture. A la clé, 15 % d’économies de carburant !

Et si vous pouviez payer votre litre de carburant moins de 0,70 € ?

Si toutes ces astuces ne vous conviennent guère, il reste encore une solution pour continuer à utiliser sa voiture en consommant moins (cher). L’électrique ne vous tente pas ? Et si vous passiez au bioéthanol (E85) ? Issu de résidus agricoles, ce carburant fait légèrement plus consommer que les traditionnels (environ 20 % de surconsommation) mais son prix au litre est plus de deux fois moins élevé que pour l’essence ou le diesel : 0,70 € en moyenne. De quoi faire rêver ! Attention, il nécessite toutefois un investissement de départ : l’achat et la pose d’un kit de conversion coûte de 500 à 1 000 € en fonction du modèle. Un investissement vite rentabilisé.

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Parce que la santé et le bien-être de votre chien sont importants pour vous, apprenez à reconnaître et traiter les allergies communes.

Comme pour les humains, les allergies chez les chiens ont beaucoup de symptômes révélateurs. Elles peuvent être déclenchées par de nombreux facteurs communs présents dans l’environnement naturel, y compris le pollen, la poussière, les squames et même une exposition régulière à la fumée de cigarette. Le type d’allergie et la sévérité des symptômes de votre animal de compagnie vous aideront à déterminer la façon dont votre vétérinaire abordera le traitement.

Soyez à l’affût de ces symptômes d’allergies chez les chiens

Que votre chien soit allergique aux spores de moisissures, au pollen, au plastique, à des ingrédients alimentaires spécifiques ou à des produits de nettoyage, voici quelques symptômes communs signe d’allergies chez les chiens:

  • Peau rouge qui pique et un désir accru de se gratter;
  • Démangeaisons, yeux larmoyants;
  • Éternuements excessifs, vomissements ou diarrhée;
  • Éternuements excessifs, vomissements ou diarrhée;
  • Une queue ou les oreilles qui démangent;
  • Ronflement causé par une inflammation de la gorge;
  • Léchage constant ou excessif;
  • Tendance à mâcher leurs pattes gonflées;
  • Perte de poils;
  • Une queue ou les oreilles qui démangent;
  • Ronflement causé par une inflammation de la gorge;
  • Léchage constant ou excessif;
  • Tendance à mâcher leurs pattes gonflées;
  • Perte de poils;
  • Infections bactériennes, virales, parasitaires ou dues à des champignons;
  • Gonflement facial;
  • Urticaire ou croûtes, peau humide;
  • Infections de l’oreille.

Certaines races sont-elles plus sensibles aux allergies que d’autres?

Bien que n’importe quelle race de chien soit susceptible aux allergies, certaines races semblent être plus sujettes à avoir des réactions allergiques que d’autres.

Celles-ci comprennent les terriers, les setters, les retrievers, les carlins, les bouledogues et les terriers de Boston.

Comment les allergies chez les chiens sont-elles habituellement traitées après le diagnostic?

Il existe une variété de façons dont les allergies canines peuvent être traitées avec succès, en voici quelques exemples:

  • Si l’allergène de votre chien est la puce, vous pouvez commencer un programme de contrôle pour que votre chien en soi débarrassé.
  • Si l’allergène de votre chien est un aliment spécifique, vous pouvez le soumettre à un régime exempt de cet aliment, tel que recommandé par votre vétérinaire.
  • Si l’allergène de votre chien est présent dans l’air qu’il respire, comme la poussière ou les poils, vous pouvez nettoyer votre chien plus souvent. Donnez-lui un bain au moins une fois par semaine afin d’éliminer les allergènes sur sa peau et pour le soulager de ses démangeaisons. Votre chien bénéficierait peut-être de l’utilisation d’un shampooing spécial. Des suppléments en acides gras pourraient également soulager ses démangeaisons.
  • Votre vétérinaire pourrait lui faire une prescription allant des injections contre les allergies, antibiotiques, immunomodulateurs, cortisones aux antihistaminiques comme le Benadryl.
  • Vous devrez peut-être nettoyer le coussin de votre chien plus souvent ou changer de tissu, lui offrir du coton à la place de la laine.
  • D’autres techniques peuvent inclure la fermeture des fenêtres, le fait de garder votre animal de compagnie à l’intérieur ou hors des zones de tapis, d’utiliser des bols en acier inoxydable ou en verre à la place de ceux en plastique et d’alimenter votre chien avec de la nourriture pour chien qui a été stockée dans le congélateur afin que la poussière ne puisse pas s’y déposer.

Si vous soupçonnez que votre chien souffre d’une réaction allergique, contactez ou rendezimmédiatement visite à votre vétérinaire. Parfois, un examen physique révélera la cause probable de la réaction. D’autres fois, votre vétérinaire peut avoir à mener un test dermique ou sanguin spécialisé, ou à prescrire un régime spécial d’élimination afin d’identifier la source.

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Une ligne de plus sur les bulletins de paie. À partir du mois de juillet, « le montant net social » va faire son apparition sur vos fiches de paie. Une information qui figurera également sur les relevés de prestation tels que l’assurance chômage, la pension d’invalidité ou encore les indemnités journalières maladie à partir de 2024.

« Le montant net social est le revenu net après déduction de l’ensemble des prélèvements sociaux obligatoires et constitue à ce titre une référence commune à tous les salariés quel que soit leur statut, leur branche ou leur entreprise », indique le site du ministère du Travail.

Ce montant correspond au revenu net après déduction de l’ensemble des prélèvements sociaux obligatoires. Dans le détail, il fait référence à « l’ensemble des sommes brutes, correspondant aux rémunérations et revenus de remplacement versés par les employeurs à leurs salariés (salaires, primes, rémunération des heures supplémentaires, avantages en nature, indemnités de rupture, etc.), diminuées des cotisations et contributions sociales qui leur sont applicables ».

L’affichage de ce montant permet de simplifier les démarches des allocataires qui n’auront plus aucun calcul à effectuer mais simplement à déclarer des montants nets sociaux qui leur auront été transmis.

Il constitue donc le revenu de référence à déclarer pour bénéficier de certaines prestations sociales telles que la prime d’activité ou le RSA.

Si les salariés n’auront plus aucun calcul à effectuer, à partir de 2024, les employeurs devront quant à eux déclarer le « montant net social » de leurs salariés aux administrations telles que la CAF, comme c’est déjà le cas pour le « montant net imposable ». Le ministère du Travail précise que « les allocataires pourront de ce fait se rendre sur mesdroitssociaux.fr pour consulter le montant total de leurs revenus nets sociaux ».

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Une progression timide, mais une progression tout de même. Présenté mercredi en Conseil des ministres, le décret actant l’augmentation de 1,5 % du traitement des 5,7 millions d’agents publics à compter du 1er juillet a été publié jeudi au Journal officiel.

Le texte vise selon le gouvernement « à soutenir le pouvoir d’achat des agents publics, en particulier celui des agents qui perçoivent les plus basses rémunérations », dans un contexte où l’inflation a encore dépassé les 5 % sur un an en mai.

Pour les agents publics les plus mal payés, une mesure salariale supplémentaire est également prévue par le décret : la distribution de points d’indice, qui permettra à certains agents des catégories C et B de bénéficier d’une hausse de leur rémunération mensuelle pouvant atteindre « 44 euros bruts ». Autre disposition du décret : une seconde distribution de points d’indice au 1er janvier 2024, cette fois non ciblée, qui augmentera la paie mensuelle des agents publics de 25 euros bruts.

Syndicats déçus

Reçus mardi par la Direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) pour négocier la mise en œuvre concrète de ces mesures, les syndicats ont dénoncé des mesures salariales insuffisantes.

« Face à un mécontentement unanimement exprimé, les organisations syndicales ont obtenu (de l’administration, NDLR) une nouvelle réunion avant la fin juillet », a affirmé la CGT dans un communiqué publié à la suite du rendez-vous à la DGAFP.

Les syndicats dénoncent surtout l’inégalité de traitement créée par une autre mesure salariale annoncée par le gouvernement : l’octroi à l’automne d’une prime exceptionnelle de 300 à 800 euros aux agents de la fonction publique d’État et de la fonction publique hospitalière.

Les deux millions d’agents de la fonction publique territoriale n’en bénéficieront pour leur part que si leur employeur le décide.

« Les mesures annoncées par le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques le 12 juin dernier ne font que conforter notre inquiétude quant à l’absence de considération du gouvernement vis-à-vis des agents publics et plus particulièrement ceux du versant territorial », s’est indigné le syndicat d’agents des collectivités FA-FPT dans un communiqué publié mercredi.

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Être payé pour twitter ? C’est ce qu’avait promis Elon Musk au début de l’année sur son réseau social. Chose promise, chose due. La plateforme américaine est bien en train de mettre en place son programme de rémunération.

« Surprise ! Aujourd’hui, nous avons lancé notre programme de partage des revenus des annonces des créateurs. (…) Les créateurs peuvent obtenir une part des revenus publicitaires à partir des réponses à leurs messages. Cela fait partie de nos efforts pour aider les gens à gagner leur vie directement sur Twitter », a annoncé le réseau dans un post, détaillé sur sa plateforme d’aide.

Mais alors comment ça marche ? Première condition, ne seront rémunérés que les abonnés Twitter Blue (9,60 euros par mois) ou les organisations vérifiées. Ensuite, il faudra avoir généré au moins 5 millions de vues sur ses tweets au cours des trois derniers mois.

Dernière condition, il faudra valider l’étape d’une vérification « humaine », pendant lequel le réseau social va vérifier votre utilisation de Twitter (nombre de posts, violence, adresse mail vérifié…).

Des revenus « cumulés » depuis février

Mais qui est concerné pour le moment ? Aucun détail n’a été révélé sur les dates de début de ce programme de rémunération. « Nous lançons le programme à plus grande échelle dans le courant du mois et tous les créateurs éligibles pourront poser leur candidature », explique la plateforme américaine.

Pourtant, certains abonnés indiquent avoir déjà reçu un message de Twitter leur indiquant qu’ils allaient recevoir près de 25 000 dollars. Aucune indication sur le montant perçu en fonction du nombre de vue n’a été dévoilée.

Pas de panique si vous êtes abonnés Twitter Blue et que vous n’avez encore rien reçu, Elon Musk a déjà prévenu que tous les revenus des internautes sont « cumulés à partir du moment où j’ai promis de le faire pour la première fois en février », a-t-il déjà indiqué sur son compte. Dernière précision, le versement de ces gratifications se fera uniquement via la plateforme de paiement Stripe.

Le lancement du programme de rémunération arrive au moment où Twitter est bousculé par l’arrivée de Threads, l’application concurrente de Meta et de Mark Zuckerberg. La nouvelle plateforme a déjà accueilli plus de 100 millions de personnes. De quoi obliger Twitter à bouleverser, ou du moins accélérer ses plans !

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#WhatsAppDown, épisode 2. Alors qu’une panne mondiale de plus de deux heures avait touché WhatsApp en octobre dernier, un bug de la même ampleur est venu contrarier les utilisateurs de l’application mercredi soir. Peu après 22 heures et pendant un peu moins d’une heure, il a été impossible d’envoyer ou de recevoir des messages sur le service de messagerie.

« Nous travaillons rapidement pour résoudre les problèmes de connectivité avec WhatsApp et nous vous informerons ici dès que possible », avait réagi WhatsApp sur son compte Twitter, alors que les internautes commentaient déjà massivement la panne sur le réseau social d’Elon Musk.

Le site DownDetector, qui rend compte en temps réel de l’état des services de plusieurs réseaux sociaux et applications de messageries comme Instagram, Messenger ou encore Facebook, a enregistré une hausse fulgurante des signalements de pannes sur WhatsApp peu après 22 heures mercredi.

La panne a commencé à prendre fin aux alentours de 22h50, les utilisateurs pouvant à nouveau envoyer des messages et en recevoir.


Notre candidature

Plus de 2 milliards de personnes dans plus de 180 pays utilisent WhatsApp 1 pour rester en contact avec leurs amis et leur famille à tout moment et en tout lieu. WhatsApp est une application gratuite 2 pour une messagerie et des appels faciles, sûrs et sécurisés. Disponible sur les téléphones du monde entier.

1 Dans le titre, nous avons combiné l’expression Quoi de neuf ? (« Comment allez-vous ? » en anglais) et le mot App (« application »).

2 Des frais de données peuvent s’appliquer.

Notre mission

WhatsApp a été initialement conçu comme une alternative aux SMS. Aujourd’hui, le service prend en charge l’envoi et la réception de données dans une variété de formats : messages, photos, vidéos, documents, géolocalisation et appels audio. WhatsApp est l’endroit où vous partagez des moments très privés, et c’est pourquoi nous avons intégré le cryptage de bout en bout à notre application. Derrière chaque décision de développer le service se cache notre volonté de créer des conditions de communication sans barrières depuis n’importe où dans le monde.

notre équipe

Les créateurs de WhatsApp sont Brian Acton et Jan Koum, qui travaillaient auparavant chez Yahoo (leur expérience combinée dans l’entreprise est de 20 ans). En 2014, WhatsApp a rejoint Facebook, mais continue de se développer de manière indépendante. La priorité reste l’envoi rapide et fiable des messages depuis n’importe où dans le monde.

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a ne se fait pas sur un coin de table », glisse, au soir du second tour des élections législatives, un proche d’Emmanuel Macron. Les discussions autour d’une coalition gouvernementale s’annoncent âpres tant les résultats du dimanche 7 juillet ont fragmenté l’Assemblée nationale en trois blocs. Contrairement à ce qu’annonçaient les sondages, c’est le Nouveau Front populaire (NFP), l’alliance des partis de gauche, qui est arrivé en tête, et non le Rassemblement national.

Les leaders de l’ex-Nupes ont d’ailleurs immédiatement revendiqué leur légitimité à gouverner, sans avoir obtenu pour autant la majorité absolue. Le parti d’extrême droite termine troisième, tandis que le camp présidentiel résiste mieux que prévu en arrachant la deuxième place.

« Fidèle à la tradition républicaine », Gabriel Attal a annoncé qu’il remettrait sa démission au président de la République lundi matin. Tout en anticipant déjà qu’il pourrait rester chef du gouvernement le temps de la constitution d’un nouveau gouvernement.

« Notre pays connaît une situation politique sans précédent et se prépare à accueillir le monde dans quelques semaines. Aussi, j’assumerai bien évidemment mes fonctions, a-t-il assuré, en faisant référence aux Jeux oIympiques. Aussi longtemps que le devoir l’exigera. » Dans les couloirs du pouvoir, dimanche soir, le flou régnait. « On attend la suite », confiait une source ministérielle. 

« Des turbulences, pas une crise de régime »

A l’Elysée aussi, on temporise, le temps d’y voir plus clair. Le chef de l’Etat, qui ne s’est pas exprimé dimanche soir, attendra la « structuration » de la nouvelle Assemblée nationale pour « prendre les décisions nécessaires », a fait savoir la présidence. Dans son entourage, on s’interroge ouvertement sur la suite : « La question qu’il va falloir se poser ce soir et dans les prochains jours, c’est ‘quelle coalition cohérente et d’idées est capable d’atteindre les 289 députés pour gouverner ?' » La réponse est bien loin d’être évidente, à cette heure. Selon notre estimation Ipsos-Talan pour France Télévisions, Radio France, France 24, RFI et LCP, le Nouveau Front populaire obtiendrait de 177 à 192 sièges, le camp présidentiel de 152 à 158 sièges et le RN, de 138 à 145 sièges. « On ne sait pas qui va gouverner », livre Simon Persico, enseignant-chercheur en sciences politiques à Grenoble.

« C’est totalement inédit avec trois blocs, même s’ils ne sont pas équilibrés, embraye le constitutionnaliste Thibaud Mulier. Mais, pour le moment, nous vivons des turbulences, pas une crise de régime. Institutionnellement, ça peut fonctionner. Il va y avoir des reconfigurations importantes dans la pratique mais le texte de la Ve République est suffisamment malléable ». Depuis Matignon, Gabriel Attal a ainsi appelé à entrer dans une « nouvelle ère ». « Il faudra inventer quelque chose de neuf, de grand, d’utile, a plaidé le Premier ministre. Pour cela, nous devrons assumer de tout remettre en question ». 

Le temps de l’hégémonie macroniste est terminé, tout comme la parenthèse des deux années mouvementées au Palais-Bourbon où le camp présidentiel n’avait qu’une majorité relative. « Il ne faut pas reproduire les erreurs de 2022. Donc tirer les conséquences du vote avec une coalition de projet », assure un proche d’Emmanuel Macron.

Dans le camp présidentiel, les chefs de partis ont commencé à poser le périmètre des négociations, tant sur le fond que sur la forme.

« Nous formaliserons des conditions préalables à toute discussion en vue d’une majorité de projet », a ainsi déclaré le patron de Renaissance, Stéphane Séjourné, citant pêle-mêle la défense de la laïcité, le maintien du soutien à l’Ukraine, la lutte contre le dérèglement climatique ou la sécurité comme « priorités de l’action gouvernementale ». « Je suis prêt à travailler avec l’ensemble des partis républicains », a-t-il également dit, tout en excluant que « Jean-Luc Mélenchon et un certain nombre de ses alliés » puissent gouverner la France. De son côté, Edouard Philippe a appelé « à la création d’un accord qui stabilisera la situation politique », en rejetant un accord avec le RN ou LFI. « Mais cet accord ne sera pas durable. Il permettra au mieux de gérer le pays », a prévenu l’ancien Premier ministre. 

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Est-il possible de se balader nu à son domicile ? Il y a, en ce domaine, une petite condition à respecter si vous ne voulez pas risque de payer une très, très grosse amende.

N’est-ce pas un réel bonheur que de rentrer chez soi après une journée harassante et stressante ? Et n’est-ce pas encore plus merveilleux de le faire en tenue décontractée, super légère ou tout simplement complétement nu ? Naturellement, cette dernière solution n’est pas forcément du goût de tout le monde, mais nombre de personnes apprécient de rester nus chez eux.

En réalité, la question peut sérieusement se poser dans les endroits particulièrement chauds ou encore durant les vagues de chaleur et autres canicules qui traversent régulièrement notre pays. Dans cette situation, circuler dans son appartement, sa maison, son jardin, complètement nu peut être très tentant. Mais attention! La liberté en la matière n’est pas totale.

En France, la loi vient apporter une limitation conséquente à ce droit. Et gare aux attitudes rebelles en la matière. La peine encourue est loin d’être négligeable, car le non-respect de cette condition peut entraîner le paiement d’une très lourde amende, et il peut être même question d’emprisonnement.

PEUT-ON LIBREMENT SE PROMENER NU CHEZ SOI ?

Il est évident que chacun a parfaitement le droit d’être nu à son domicile. Inutile de rappeler les principes basiques de liberté et de vie privée en vigueur en France. À ce titre, chacun est libre de circuler comme bon lui semble, dès lors qu’il ou elle se trouve à son domicile, qui est un lieu privé, par opposition à un lieu public, obéissant à des règles plus strictes.

Ainsi, en la matière, la liberté est le principe. Chacun fait ce qu’il veut à une seule condition : ne pas imposer sa nudité à autrui. Ceci paraît logique, pourtant la loi a préféré prendre les devants face à ce genre de situation en créant une infraction pénale très spécifique.

En effet, retenez que s’il vous prend l’envie de vous balader les fesses à l’air dans votre jardin ou encore de faire bronzette totalement nu sur votre terrasse, vous devez vous assurer que personne ne vous voit. Dans le cas contraire, votre attitude pourrait être qualifiée d’exhibition sexuelle. Une pratique sévèrement réprimée par la loi pénale.

UNE AMENDE POUR LES FRANÇAIS QUI SE BALADENT NUS CHEZ EUX

L’article 222-32 du code pénal dispose : « L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. » Autrement dit, la question n’est plus ici de savoir si vous avez ou non le droit d’être nu chez vous.

La réponse est oui. La question est plutôt celle de savoir si vous êtes exposé au regard d’autrui, même si vous êtes chez vous.

Il ne faut surtout pas prendre cette interdiction à la légère. En effet, si très malencontreusement, un mineur de moins de 15 ans était exposé à votre nudité, sachez que la peine encourue est doublée et passe 30 000€ d’amende et de deux ans d’emprisonnement.

Si le sujet paraît léger, il peut toutefois prendre une tournure extrêmement sérieuse. Pour la petite histoire, les femmes sont bien plus l’objet de condamnation en la matière que les hommes, car le fait d’être torse nu n’est pas considéré comme de l’exhibitionnisme alors que les seins nus le sont… Aussi, en cette période de vacances et de fortes chaleurs, il convient de faire preuve de vigilance. Pour vivre nus, vivons cachés !

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Chaque année, les pensions de retraite de base sont revalorisées pour permettre aux retraités de faire face à l’évolution de l’inflation. La dernière augmentation, qui s’élevait à 5,3%, a eu lieu au 1ᵉʳ janvier 2024. Quant à la prochaine, plusieurs zones d’ombre subsistent.

Il faut dire qu’après la revalorisation du mois de janvier, plusieurs faits marquants ont été enregistrés. D’abord, le recul de la croissance économique et la hausse du déficit budgétaire qui ont poussé le gouvernement à réagir en annonçant un plan d’économies à hauteur de 10 millions en 2024. Mais ce n’est pas tout, d’autres mesures sont d’ores et déjà prévues pour l’année prochaine.

L’indexation des pensions de retraite de base pourrait justement être impactée. C’est en effet ce qu’avait laissé entendre le ministre délégué chargé des Comptes publics, Thomas Cazenave en février dernier. « Est-ce qu’on continue à indexer sur l’inflation l’ensemble de nos prestations, l’ensemble de nos transferts ? On aura, je crois, ce débat pour le projet de budget 2025 », avait-il déclaré.

économistes. Ils estiment qu’une sous-indexation aurait permis à l’État de réaliser des économies conséquentes. Dans le détail, la revalorisation des pensions de retraite de base à hauteur de 5,3 %, ainsi que celle des retraites complémentaires de 4,9 % aurait coûté plus de 14 milliards d’euros à l’État.

Bien que le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, ait promis de ne pas toucher aux impôts des Français ni à la sécurité sociale, le gouvernement prévoit déjà de faire 6 milliards d’économies sur ce dernier secteur en 2025. La prochaine revalorisation des pensions de base soulève ainsi de nombreuses questions.

Une autre revalorisation des retraites de base en 2024 ?

Pour ce qui est de la date, elle a généralement lieu le 1ᵉʳ janvier (sur la base de l’inflation de l’année précédente). C’est notamment ce qui produit lors des cinq dernières années. En 2022, la revalorisation a même eu lieu deux fois, en janvier et en juillet. Pour cause, l’inflation avait fortement augmenté cette année-là. Elle s’était établie à hauteur de 5,2 %.

Cette année, la hausse des prix est sur une tendance baissière. D’après les prévisions de la Banque de France, « l’inflation IPCH reculerait sensiblement pour atteindre en moyenne 2,5 % ». Avec une inflation qui recule, il y a donc peu de chances pour qu’une nouvelle revalorisation des pensions de base ait lieu en 2024.

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